Collection "Hélium"

Sous le ciel rouge de juillet

16,00

Monts d’Ain – Eté 1944

Ce récit est un assemblage où l’onirique et la nature se mêlent avec cohérence à la sombre réalité de la seconde guerre mondiale en zone occupée, dans la région des monts d’Ain du Haut Bugey.

Les gens du pays, les résistants et les alliés tombés du ciel s’y côtoient en des destins croisés dans un environnement grandiose autour du lac de Nantua.

La nature locale sauvage, austère mais bienveillante, se révèle être un abri où ils peuvent se protéger, se ressourcer et s’unir pour mettre en difficulté les troupes d’occupation du IIIe Reich…

Paris 1900 – La tour ensoleillée

19,50

Paris flamboyant, Paris innovant. C’est à Paris qu’il faut être en 1892.

Alfred, jeune provincial, ingénieur insatiable, rêve de participer à l’Exposition Universelle de 1900.

Et il a des idées, Alfred ! Changer le monde, aider son prochain, trouver la création inédite qui lui permettra d’atteindre son but. Il veut inscrire son nom en lettres d’or dans les livres d’Histoire…

Je vous laisserai choisir

15,00

Je vous laisserai choisir, est un roman écrit en collaboration de 4 autrices : Michèle Marchant, Sonia Martena, Françoise Pellaton et Nicole Zorn

« Je vous laisserai choisir », écrit Franz à Violette. Au fil des pages, Louis, Alex, Isabelle et les autres, pris dans les mouvements de la vie, vont devoir choisir à leur tour. Ils pourraient être vous.

Les amis de Louis

15,00

Au téléphone, Sophie est allée droit au but :  » Nous sommes brocanteurs, comme notre célèbre confrère de France 3 dont les aventures se tournent souvent tout près de chez nous. On adore la série, Louis est comme un ami. Mais dans la région, le seul à posséder ce que vous cherchez, c’est Alexandre Signamarchaix, mon époux. »…

L’âme sœur

17,00

Tu n’imagines pas ce que je ressens, Maman. Ma vie a commencé quand j’avais neuf ans, au milieu des blouses blanches de l’hôpital. Avant, c’est le trou noir. J’ai perdu ma sœur. Nous devions être très proches, mais je ne le sais pas. J’ai perdu mon père. Il devait être le plus merveilleux des papas, mais je ne me rappelle pas. J’ai perdu mes camarades de classe…

L’enfant qui arpentait ses rêves sur des patins de soie

13,00

Par un très vieux soir de guerre, le Toine voit son père descendre l’allée gelée des premiers grands froids de janvier. Il est mené par deux gendarmes et un autre homme vêtu d’un long manteau de cuir sombre. Il ne le reverra jamais. Dès lors, Le Toine est orphelin. Il grandira mais dans son esprit, il va rester petit…

Rouge Tandem

17,00

Rouge est une jeune femme énigmatique. Désenchantée, pleine de violence et de contradictions, elle consacre son temps libre à aider Rose, sa grand-mère, qui vient de perdre son mari mais refuse d’en parler. Pour forcer les défenses de la vieille dame, Rouge décide d’utiliser un cheval de Troie : dans le garage trône un tandem datant du siècle dernier…

La grande marche

15,00

« Corbairan sait que le Jaufre connaît, comme lui, les chemins de la montagne. Lui aussi a passé sa jeunesse à courir dans ce coin. Ils sont à armes égales, jeunes, rusés, aguerris. Son avantage est de connaître la destination et de savoir que Jaufre ne l’attaquera pas tant qu’il n’aura pas récupéré l’argent du père Lanta. Mais Jaufre n’a rien à perdre, c’est tout ou rien. »…

 

Fernand, un arc en ciel sous la lune

19,00

Fernand avançait lentement la tête baissée. Il poussait dans le soleil devant lui, l’ombre de sa longue silhouette filiforme et un peu voûtée. Le bitume noir de la route se déroulait sous ses yeux en une bande qui semblait ne pas vouloir en finir. Il malaxait roulée comme une serviette dans son coulant, entre ses gros doigts fripés sa casquette plate à carreaux écossais…

Martial Victorain a obtenu le prix du roman Claude Favre de Vaugelas en 2016 pour ce magnifique roman.

 

 

 

Lilie Miracle

17,00

« Se réveiller dans la musique du chant des oiseaux et en ouvrant les yeux, embrasser les couleurs du monde ! À la première inspiration, patauger dans des odeurs de foin ! Entendre les battements de votre propre cœur palpiter dans la poitrine fantastique des aurores ! A chaque instant mordre la chair croustillante et délicieuse de l’existence ! Se désaltérer de son miel débordant ! Sucer la sève onctueuse et les sels de sa peau ! Lui appartenir ! Se sentir en elle ! Être elle !
Il n’y a de bonheur comparable à la naissance des jours…